Khamzat Chimaev taille poids âge : statistiques et palmarès

Ce qu’il faut retenir : Khamzat Chimaev, âgé de 31 ans, détient le titre des poids moyens de l’UFC avec un bilan professionnel immaculé de 15 victoires. Ce combattant de 1,88 m domine la compétition grâce à une lutte d’élite et une polyvalence technique rare. Représentant les Émirats arabes unis, il comptabilise 12 finitions avant la limite.

Trouver des données biométriques fiables et actualisées sur les athlètes de haut niveau constitue souvent un défi face à la fragmentation des sources d’information. Ce dossier technique centralise toutes les statistiques officielles pour la requête khamzat chimaev taille poids age, en détaillant ses mensurations et son palmarès professionnel immaculé. L’analyse fournit un aperçu complet de sa morphologie de 1,88 mètre, de son historique de quinze victoires sans défaite et de sa transition stratégique vers le titre mondial.

1. La carte d’identité de Khamzat Chimaev : taille, poids, âge
2. Un palmarès professionnel immaculé
3. Zoom sur ses victoires les plus significatives à l’UFC
4. L’évolution entre les catégories de poids
5. Origines et parcours international
6. Style de combat et reconnaissances officielles

La carte d’identité de Khamzat Chimaev : taille, poids, âge

Les mensurations clés : taille et allonge

Avec une taille de Khamzat Chimaev mesurée officiellement à 1,88 m, il domine souvent ses rivaux. Cette stature, équivalente à 6 pieds 2 pouces, lui offre un levier mécanique redoutable dans la cage.

Son allonge atteint 1,90 m, un atout majeur pour dicter les échanges. Cette portée lui permet de frapper sans s’exposer.

Ces mensurations ne sont pas anecdotiques ; elles sont idéales pour la catégorie des poids moyens. Sa morphologie lui permet d’absorber la montée en poids tout en conservant une explosivité supérieure à la moyenne de la division.

Âge et origines du combattant

Né le 1er mai 1994, le combattant atteint son pic athlétique. En 2025, son âge est de 31 ans, une période charnière où l’expérience rejoint la puissance physique pure.

Ses racines se trouvent à Beno-Yurt, un village situé en République tchétchène.

Son parcours national est singulier. Après avoir longtemps combattu sous les couleurs suédoises, il représente officiellement les Émirats arabes unis depuis 2023, marquant un tournant décisif dans sa carrière professionnelle et son image internationale.

Fiche technique récapitulative

Pour visualiser rapidement pourquoi ce profil effraie la concurrence, voici la synthèse de ses données. Ce tableau regroupe les statistiques officielles validées par l’organisation.

Un palmarès professionnel immaculé

Au-delà de ses attributs physiques impressionnants, la carrière de Khamzat Chimaev se définit par une statistique tout simplement hallucinante : son invincibilité totale face à l’élite mondiale.

Le bilan parfait : une série d’invincibilité

Khamzat Chimaev présente un palmarès professionnel de 15 victoires pour 0 défaite. Ce record immaculé constitue une véritable anomalie statistique dans l’univers impitoyable du MMA de très haut niveau. Peu d’athlètes atteignent ce sommet sans jamais trébucher.

Cette invincibilité couvre l’intégralité de son parcours professionnel, depuis ses débuts anonymes jusqu’à son statut actuel de superstar mondiale. Personne n’a encore trouvé la solution pour le battre.

Avec un bilan de 15-0, Khamzat Chimaev s’est établi non seulement comme un champion, mais aussi comme l’un des combattants les plus dominants et redoutés de sa génération.

Une machine à finir les combats : KO, soumissions et décisions

Analysez la répartition de ses victoires pour comprendre la menace réelle. Le « Loup » totalise exactement 6 victoires par KO et 6 victoires par soumission. Ces douze arrêts avant la limite prouvent qu’il ne laisse rien au hasard dans la cage.

Ajoutez à cela ses 3 victoires par décision contre des vétérans coriaces. Cela démontre sa capacité à mener des combats stratégiques sur la durée, même si le public le connait surtout pour ses finitions éclairs.

Ce ratio très élevé de finitions reste la signature indélébile de son style agressif. Chimaev cherche constamment à terminer le combat avant la limite légale. Il refuse de laisser les juges décider de son sort.

Les fondations : un parcours amateur sans faute

Revenons un instant sur sa carrière avant son passage chez les professionnels. Il possédait déjà un bilan amateur impeccable de trois victoires pour zéro défaite. C’était un avertissement clair pour la concurrence.

Cette expérience amateur, bien que brève, a posé les fondations solides de sa future domination dans les rangs professionnels. Il était déjà trop fort pour ce niveau.

Ce parcours amateur parfait a été le premier indicateur fiable de son potentiel exceptionnel. Il annonçait déjà la série de victoires qui allait suivre à un niveau bien plus élevé. Les experts avaient vu les signes avant tout le monde.

Zoom sur ses victoires les plus significatives à l’UFC

Derrière les chiffres bruts de son palmarès se cachent des combats clés qui ont marqué son ascension fulgurante au sein de l’UFC.

La consécration : champion des poids moyens

C’est le sommet absolu de sa carrière, le moment où tout a basculé pour « Borz ». Le 17 août 2025, lors de l’UFC 319, Chimaev a enfin décroché l’or face au solide Dricus du Plessis, prouvant qu’il n’était pas qu’une simple « hype ».

Pas de décision controversée ici, mais une soumission nette qui a fait taire les critiques les plus virulentes. Cette maîtrise technique lui a logiquement valu la prime de « Performance de la soirée », soulignant sa supériorité au sol.

Ce triomphe verrouille son statut de champion incontesté et maintient son invincibilité intacte chez les pros.

Des performances dominantes et expéditives

Avant le sacre, il a fallu briser une légende pour valider ses ambitions mondiales. Le 26 octobre 2024 à l’UFC 308, sa victoire par soumission sur l’ancien roi Robert Whittaker a servi d’avertissement brutal au reste de la division.

Mais c’est son KO en 17 secondes contre Gerald Meerschaert, en septembre 2020, qui reste gravé dans les mémoires. Une droite, un sommeil immédiat : l’efficacité pure qui a terrifié la catégorie et marqué les esprits par sa brutalité.

Regardez bien cette liste, car elle résume pourquoi tant de combattants préfèrent l’éviter :

• Victoire contre Dricus du Plessis : Soumission (UFC 319) – Gain du titre des poids moyens.
• Victoire contre Robert Whittaker : Soumission (UFC 308) – Performance de la soirée.
• Victoire contre Kamaru Usman : Décision majoritaire (UFC 294) – Combat charnière.
• Victoire contre Gilbert Burns : Décision unanime (UFC 273) – Combat de la soirée.
• Victoire contre Gerald Meerschaert : KO (UFC Fight Night) – Victoire en 17 secondes.

Les tests de résistance face à l’élite

On disait qu’il ne tiendrait pas la distance, pourtant le choc contre Gilbert Burns à l’UFC 273 a prouvé le contraire. Une véritable guerre de trois rounds où il a montré un menton d’acier sous la pression constante du Brésilien.

Récompensée par le bonus « Combat de la soirée », cette victoire par décision unanime a validé son cœur de guerrier face à l’adversité, bien loin des combats expéditifs habituels.

Enfin, sa victoire par décision majoritaire contre Kamaru Usman à l’UFC 294 a confirmé sa place au sommet.

L’évolution entre les catégories de poids

Des débuts en poids mi-moyens (welterweight)

Khamzat Chimaev a débuté sa carrière à l’UFC et combattu principalement dans la catégorie des poids mi-moyens (Welterweight) entre 2018 et 2022. Cette période a établi sa réputation mondiale. Il y a démontré une domination physique immédiate.

La limite de poids de cette catégorie est fixée exactement à 170 livres. Cela équivaut à environ 77 kg.

Sa grande taille pour cette division lui donnait un avantage de portée indéniable sur ses adversaires. Pourtant, cela impliquait des coupes de poids (weight cutting) très difficiles pour son organisme. Ce point physiologique deviendra d’ailleurs central dans la suite de sa carrière.

La transition stratégique vers les poids moyens (middleweight)

L’athlète opère un passage définitif à la catégorie des poids moyens (Middleweight) à partir de 2023. La limite de poids officielle y est de 185 livres. Cela correspond à une masse d’environ 84 kg.

Cette transition a été motivée par les difficultés croissantes à atteindre la limite stricte des mi-moyens. L’objectif principal reste d’optimiser ses performances physiques.

Le passage d’une catégorie de poids à une autre est un ajustement stratégique majeur, souvent dicté par la morphologie naturelle de l’athlète et la recherche d’un équilibre optimal entre puissance et endurance.

Les défis du « weight cutting » et la comparaison des catégories

Il faut aborder directement le sujet des difficultés de coupe de poids (« weight cutting »). Ces problèmes ont été publiquement discutés par les analystes sportifs. C’était notamment le cas avant certains de ses combats majeurs.

• Poids Mi-Moyens (Welterweight) : Limite à 170 lbs (77,1 kg). Ce seuil exige une perte de poids extrême pour un athlète de la taille de Chimaev, un processus drastique pouvant impacter l’énergie et la récupération.
• Poids Moyens (Middleweight) : Limite à 185 lbs (83,9 kg). C’est une catégorie plus naturelle pour sa morphologie, permettant de conserver plus de puissance et de force brute sans les contraintes d’une déshydratation sévère.

Origines et parcours international

De la Tchétchénie à la Suède : un exil formateur

Khamzat Chimaev est né à Beno-Yurt, en Tchétchénie, un environnement rude qui a forgé son tempérament de combattant dès le premier jour. Ce berceau caucasien constitue le point de départ essentiel de son histoire, ancrant profondément son identité avant son départ vers l’Occident.

Il a immigré en Suède avec sa famille à l’âge de 18 ans pour bâtir une nouvelle vie loin des conflits. C’est dans ce pays scandinave qu’il a perfectionné ses compétences dévastatrices en lutte et a débuté sa carrière professionnelle en MMA au sein du Allstar Training Center.

La Suède a ainsi été sa première nation d’adoption sur la scène sportive internationale, où il a combattu sous sa bannière avec un succès retentissant.

Le changement de bannière pour les Émirats arabes unis

En septembre 2023, il annonce qu’il ne représentera plus la Suède, marquant une rupture définitive avec son ancienne fédération. Il combat désormais sous la bannière des Émirats arabes unis, un changement reflétant ses nouvelles attaches géographiques et ses convictions personnelles.

Ce changement a été effectif à partir de son combat victorieux à l’UFC 294 contre Kamaru Usman. Ce duel a marqué sa première apparition historique en tant que représentant officiel des EAU, consolidant son statut de star au Moyen-Orient.

Cette décision reflète un changement profond dans ses affiliations personnelles et professionnelles, alignant sa carrière avec ses valeurs actuelles sans entrer dans les spéculations.

L’impact de son héritage culturel sur son identité de combattant

L’influence de ses origines tchétchènes est indéniable, cette région étant célèbre pour produire des lutteurs de classe mondiale. Cet héritage robuste alimente directement sa base dominante en lutte, lui conférant un avantage physique écrasant et une capacité de contrôle rare dans l’octogone.

Son surnom « Borz », signifiant loup en tchétchène, est un hommage direct à cet héritage culturel et aux traditions locales. Il symbolise la férocité et la ténacité inébranlable associées à son style de combat, rappelant les valeurs guerrières de sa terre natale.

Style de combat et reconnaissances officielles

Enfin, les statistiques et le parcours de Chimaev prennent tout leur sens lorsqu’on analyse son style dans l’octogone et les récompenses qui en découlent.

Une base de lutte d’élite comme fondation

Tout part de là. Son style repose sur une lutte (grappling) d’un niveau technique effrayant. Ce n’est pas juste de la force, c’est une arme de destruction massive pour contrôler, étouffer et dominer totalement quiconque ose entrer dans sa garde.

Avant de terroriser l’UFC, il a raflé de multiples titres nationaux en lutte libre en Suède. Cette expérience brute en compétition est le véritable socle de son succès actuel en MMA. Sans cette rigueur, le « Loup » ne serait pas le même.

La polyvalence d’un finisseur : striking et soumissions

Mais ne vous y trompez pas. Chimaev a prouvé sa dangerosité en striking (combat debout), accumulant 6 victoires par KO. Sa puissance sèche surprend toujours ceux qui anticipent seulement la lutte.

Au sol, c’est un autre cauchemar. Sa maîtrise technique se traduit par 6 victoires par soumission, utilisant souvent l’étranglement arrière (rear-naked choke) pour finir le travail. Une fois qu’il verrouille, c’est fini.

C’est cette double menace qui le rend si effrayant. Qu’il reste debout ou qu’il aille au sol, il est imprévisible. Pour un spécialiste, se préparer contre lui relève du casse-tête tactique impossible.

Les bonus de l’UFC : la marque des combats spectaculaires

L’UFC ne paie pas seulement pour la victoire, mais pour le spectacle. Les bonus « Performance de la soirée » et « Combat de la soirée » récompensent ceux qui marquent les esprits par des finitions brutales ou des guerres totales.

1. Performance de la soirée : Il a décroché ce chèque à six reprises. C’est arrivé notamment pour ses victoires dominantes contre Dricus du Plessis, Robert Whittaker et son KO express sur Gerald Meerschaert.
2. Combat de la soirée : Une seule fois, mais quelle fois. Sa guerre sanglante et mémorable contre Gilbert Burns reste gravée dans les mémoires.
3. Total des bonus : Avec sept bonus au total, Chimaev prouve qu’il est une machine à highlights et que son style spectaculaire paie à chaque apparition.

Khamzat Chimaev, âgé de 31 ans et mesurant 1,88 m, s’établit comme l’actuel champion des poids moyens de l’UFC. Avec un palmarès professionnel invaincu de 15 victoires, le combattant émirien combine une lutte de haut niveau et un striking efficace. Cette domination technique confirme la réussite de son évolution physique et stratégique au sein de l’organisation.

FAQ

À quelle catégorie de poids correspond la limite de 84 kg en MMA ?

Un poids de 84 kg (185 livres) correspond à la catégorie des poids moyens (Middleweight). C’est la division actuelle de Khamzat Chimaev, une catégorie qui s’adapte idéalement à sa morphologie d’1,88 m et à son allonge de 1,90 m.

C’est dans cette catégorie que le combattant a obtenu la consécration ultime. Selon les statistiques de 2025, il détient le titre de champion des poids moyens de l’UFC après sa victoire par soumission face à Dricus du Plessis lors de l’UFC 319.

Quels problèmes de santé ont affecté la carrière de Khamzat Chimaev ?

Le parcours professionnel de Khamzat Chimaev a été marqué par des complications sévères liées à la COVID-19 contractée en décembre 2020. Cette infection a eu un impact significatif sur sa condition physique à court terme, entraînant notamment l’annulation de son combat programmé contre Leon Edwards.

Malgré cet épisode qui a temporairement ralenti sa progression, l’athlète a réussi son retour à la compétition de haut niveau. Il a par la suite enchaîné les victoires contre des adversaires du top classement comme Gilbert Burns et Kamaru Usman, prouvant son rétablissement complet.

Quels incidents de pesée ont influencé la catégorie de poids de Chimaev ?

Les difficultés de Khamzat Chimaev à respecter la limite des poids mi-moyens (77 kg) ont été mises en évidence lors de l’UFC 279 en septembre 2022. Incapable d’atteindre le poids réglementaire, il a dû disputer un combat à un poids contractuel (catchweight) de 180 livres (environ 81,6 kg) contre Kevin Holland.

Cet événement a confirmé la nécessité physiologique pour le combattant de s’installer durablement dans la catégorie supérieure des poids moyens (84 kg). Cette transition lui permet désormais de performer sans subir les effets délétères d’une déshydratation excessive avant ses combats.