Kayla Harrison : taille, poids, âge, victoires et palmarès

L’essentiel à retenir : Kayla Harrison, double championne olympique de judo, réussit une transition historique vers le MMA. À 35 ans et 1,73 m, elle domine la catégorie des poids coqs (61 kg) par sa puissance physique. Son palmarès professionnel affiche un bilan quasi parfait de 19 victoires pour une seule défaite, incluant un titre UFC.

Trouver des données certifiées sur kayla harrison taille poids age victoires est nécessaire pour appréhender la trajectoire de cette combattante hors normes. Ce dossier technique recense ses mensurations précises, son âge et compare son physique olympique à sa forme actuelle en MMA. L’analyse détaille également l’intégralité de son palmarès sportif, incluant ses médailles d’or et son bilan quasi parfait dans la cage.

1. Fiche d’identité : les mensurations clés de Kayla Harrison
2. Un héritage olympique : les victoires marquantes en judo
3. La conquête de l’octogone : palmarès et titres en MMA
4. Analyse morphologique : l’impact de son physique en combat

Fiche d’identité : les mensurations clés de Kayla Harrison

Âge et informations générales

Kayla Harrison est née le 2 juillet 1990 à Middletown, Ohio. Elle a donc actuellement 35 ans. Cette date marque le début d’une trajectoire sportive exceptionnelle.

C’est une athlète américaine dont la réputation dépasse les frontières. Elle s’est d’abord illustrée comme judokate de classe mondiale avant de conquérir le MMA. Cette transition réussie entre deux disciplines reste rare.

Sa carrière débute très tôt, puisqu’elle commence le judo à six ans. Consultez son site officiel pour plus de détails.

Taille et poids : les statistiques physiques

L’américaine affiche une taille officielle de 1,73 m, soit 5 pieds et 8 pouces. Cette stature lui offre une allonge précieuse pour contrôler la distance. C’est un atout indéniable dans la cage.

Son poids de forme a radicalement changé selon la discipline pratiquée. Lorsqu’elle dominait les tatamis olympiques, elle évolue dans la catégorie des mi-lourds, fixée à moins de 78 kg.

En MMA, elle réalise une coupe de poids drastique pour atteindre la limite des poids coqs (Bantamweight). Elle doit peser 135 lbs, soit environ 61 kg.

Tableau récapitulatif des mensurations

Ce tableau condense les données physiques et sportives essentielles de la combattante. Il permet de saisir d’un coup d’œil l’écart impressionnant entre son poids de forme en judo et en MMA.

Un héritage olympique : les victoires marquantes en judo

Les mensurations physiques sont une chose, mais ce qui définit vraiment Kayla Harrison, c’est ce qu’elle a accompli sur les tatamis avant même d’entrer dans une cage.

Double championne olympique : une domination sans partage

C’est simple, Kayla a écrasé la concurrence mondiale. Elle a raflé deux médailles d’or olympiques consécutives, un exploit rarissime. D’abord, elle s’impose aux Jeux de Londres en 2012, puis elle remet le couvert avec une autorité déconcertante à Rio en 2016.

Mais ce n’est pas juste une victoire, c’est une rupture historique. En 2012, elle est devenue la première judokate américaine, hommes et femmes confondus, à décrocher l’or olympique. Personne aux États-Unis n’avait réussi cela avant elle.

Ces deux titres légendaires ont été obtenus dans la catégorie des moins de 78 kg. Pour comprendre l’ampleur de ses titres olympiques, il faut réaliser la pression immense qui pesait sur ses épaules.

Un palmarès mondial et continental

Avant même la gloire olympique, elle avait déjà marqué son territoire. En 2010, à Tokyo, elle est sacrée championne du monde face à l’élite du judo. Ajoutez à cela deux médailles de bronze aux mondiaux, et vous avez une athlète hors norme.

Sur son propre continent, la domination était tout aussi totale. Elle a décroché deux médailles d’or aux Jeux panaméricains, confirmant qu’elle n’avait absolument aucune rivale sérieuse dans toute la région.

Voici le résumé brutal de cette razzia :

• Jeux olympiques : 2 médailles d’or (2012, 2016)
• Championnats du monde : 1 médaille d’or (2010), 2 de bronze
• Jeux panaméricains : 2 médailles d’or

La base de son succès en mma

Vous vous demandez pourquoi elle est si effrayante en cage ? Tout vient du judo. Son grappling étouffant, ses projections (takedowns) dévastatrices et son contrôle au sol chirurgical sont directement issus de ses années de rigueur sur les tatamis.

Son parcours exceptionnel, avec deux médailles d’or olympiques en judo et des titres mondiaux en MMA, illustre l’une des transitions sportives les plus réussies de sa génération.

La conquête de l’octogone : palmarès et titres en MMA

Un bilan professionnel impressionnant

Kayla Harrison affiche une fiche quasi parfaite en arts martiaux mixtes. Son compteur indique 19 victoires pour 1 seule défaite (19-1-0). Ce chiffre illustre sa domination technique dans la cage.

L’américaine ne laisse que rarement le sort du combat aux juges. La majorité de ses succès surviennent avant la limite réglementaire. Cette efficacité prouve sa capacité létale à finaliser ses opposantes.

• Victoires par (T)KO : 6
• Victoires par soumission : 8
• Victoires par décision : 5

Double championne à la PFL

La judokate a forgé sa réputation au sein de la Professional Fighters League (PFL). Cette organisation a servi de tremplin pour sa transition vers le MMA. Elle y a dominé la division des poids légers. C’est ici qu’elle a construit son héritage.

Harrison a marqué l’histoire en remportant le tournoi à deux reprises. Elle a été sacrée championne en 2019 et en 2021 après des saisons dominantes. Chaque titre s’accompagnait du célèbre chèque d’un million de dollars. Cette performance a solidifié son statut financier et sportif.

L’arrivée et le sacre à l’UFC

Le transfert vers l’Ultimate Fighting Championship (UFC) représentait le défi ultime. Les observateurs attendaient de la voir face à une opposition plus dense. Ce changement d’organisation marquait un tournant décisif. Elle devait prouver sa valeur au sommet mondial.

L’adaptation fut immédiate et brutale pour la concurrence. Le 7 juin 2025, elle devient championne du monde des poids coqs de l’UFC en soumettant Julianna Peña. Ce triomphe valide définitivement sa place parmi l’élite absolue.

Analyse morphologique : l’impact de son physique en combat

Un avantage de taille et de puissance

Avec son mètre soixante-treize, Harrison domine physiquement la majorité de ses rivales en poids coqs. Cette stature lui offre une allonge supérieure, facilitant le contrôle à distance. Vous voyez l’idée : elle touche sans être touchée lors des phases de striking.

N’oublions pas qu’elle vient des moins de 78 kg en judo. Cette masse musculaire passée se traduit par une puissance brute phénoménale à 61 kg. C’est précisément ce qui rend son grappling et de ses takedowns quasi impossibles à stopper pour des gabarits plus légers.

Le défi de la coupe de poids (weight cutting)

Mais cette puissance a un coût biologique élevé. Descendre à 135 livres (61 kg) impose un stress immense à un corps naturellement calibré pour être plus lourd. C’est une guerre contre sa propre physiologie avant même d’entrer dans la cage.

D’ailleurs, les faits sont là. Des incidents médicaux, incluant une hospitalisation rapportée avant l’UFC 307, prouvent la dangerosité de ce processus drastique pour sa santé immédiate.

La descente en poids coq est un véritable test d’endurance et de discipline, aussi exigeant que le combat lui-même pour une athlète de sa stature.

Implications sur la stratégie et la performance

Une coupe de poids aussi violente modifie forcément la donne tactique. Si le combat s’éternise, le réservoir d’énergie risque de se vider plus vite. Le cardio devient alors le facteur critique à surveiller de près dans les rounds finaux.

Pourtant, elle gagne. Sa capacité à remporter des titres majeurs, comme celui de l’UFC face à Peña, démontre une résilience mentale qui surpasse largement ces limites physiques.

Kayla Harrison s’impose comme une athlète d’exception, cumulant deux médailles d’or olympiques en judo et le titre mondial de l’UFC. Sa transition réussie repose sur l’adaptation rigoureuse de son gabarit d’1,73 m à la catégorie des poids coqs. Son bilan de 19 victoires confirme l’efficacité de son style technique au plus haut niveau du MMA.

FAQ

Quel est l’âge actuel de Kayla Harrison ?

Née le 2 juillet 1990 à Middletown dans l’Ohio, Kayla Harrison est âgée de 35 ans en 2025. Elle a débuté sa carrière sportive très jeune, commençant le judo dès l’âge de six ans avant de devenir une athlète professionnelle de renommée mondiale.

Quel est le palmarès sportif complet de Kayla Harrison ?

Le palmarès de Kayla Harrison se divise entre le judo et le MMA. En judo, elle possède un historique exceptionnel avec deux médailles d’or olympiques consécutives (2012, 2016) et un titre de championne du monde (2010). Elle est la seule judokate américaine à avoir réalisé ce doublé olympique.

En MMA, son bilan professionnel s’élève à 19 victoires pour 1 seule défaite (19-1-0). Elle a remporté le tournoi des poids légers de la PFL à deux reprises (2019, 2021) et est devenue championne des poids coqs de l’UFC en juin 2025 en battant Julianna Peña.

Dans quelle catégorie de poids Kayla Harrison combat-elle actuellement ?

Kayla Harrison évolue actuellement dans la catégorie des poids coqs (Bantamweight) à l’UFC. La limite de poids pour cette division est fixée à 135 livres, soit environ 61 kg.

Auparavant, lors de son passage au sein de la Professional Fighters League (PFL), elle combattait principalement dans la catégorie des poids légers (Lightweight), dont la limite est de 155 livres (environ 70 kg).

Dans quelle catégorie de poids Kayla Harrison concourait-elle aux Jeux olympiques ?

Lors de sa carrière de judokate, Kayla Harrison combattait dans une catégorie de poids supérieure à celle de sa carrière actuelle en MMA. Ses deux titres olympiques à Londres et à Rio ont été décrochés dans la catégorie des moins de 78 kg (mi-lourds).

La gestion du poids de Kayla Harrison a-t-elle posé problème ?

La transition vers la catégorie des poids coqs (61 kg) représente un défi physiologique important pour Kayla Harrison, qui a longtemps évolué à 78 kg en judo puis à 70 kg en MMA. Bien que des rapports aient mentionné la difficulté de cette coupe de poids (weight cutting), elle a réussi à valider son poids pour ses échéances majeures à l’UFC, notamment lors de sa victoire pour le titre en 2025.